mardi 2 février 2010

Sly Johnson 74

Rewiind en mode promo web pour la nouvelle signature Universal Publishing : SLY JOHNSON.

Résurrection.
Une autre vie commence en 2007, avec la fin du Saïan Supa Crew. Il se cherche et il trouve sa voie au travers de rencontres (Camille, Rokia Traoré, Erik Truffaz). Dans cette quête d’identité artistique, le disquaire Jean-Philippe Mano fait goûter à cet amateur de hip-hop les galettes d’origine, les classiques du groove. Le monde de son enfance, peuplée des LP de son père. De la salsa, de la rumba, du jazz, de la soul…Mais il lui aura manqué l’essentiel, sa mère qui décède en 2007.

Renouveau.
Sly Johnson pousse le pitch plus loin qu’une simple nu-soul, avec ce disque (74).
Sa voix demeure la pulsation essentielle, de la chanson au beat-box, des craquements du vinyle au velours de la soul. Le Français a composé le répertoire de son album à partir de sa voix, sublimée par le producteur Jay Newland (Norah Jones, Ayo) et le tapis de cordes sensibles et de cuivres subtils que lui tresse Larry Gold, le mythique arrangeur du son de Philadelphie (Erykah Badu, The Roots, Justin Timberlake).
A ses côtés, une équipe de musiciens branchés « Great Black Music » et des invités triés sur le volet : les rappeurs de Slumvillage et la chanteuse Ayo. Cette fidèle amie lui a toujours dit : « Sly, t’es pas un rappeur, t’es un chanteur. » C’est sûr, et c’est chose bel et bien faite.

A suivre…

1ère vidéo en studio mi-février

Crédit photo : JM. Lubrano
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